Qui n’a pas rêvé de connecter, en temps réel, en réseau et vers des PC, les données de FligtRadar24 avec celles du simulateur de vol de Google Earth ? Ah, vous ne saviez pas qu’il y avait, aussi, un simu dans Gearth ??? Hé bien, cela marche, je viens de suivre la descente et l’approche de http://www.flightradar24.com/FIN879Q/view
Posé pas cassé et l’on est rassuré.
L’article de 01 Net
La capture d’écran ci-dessous « montre » l’atterro d’un A380 il y a quelques instants à CDG en provenance de Los Angeles.
Ah, précision en passant, l’appli est disponible sur les téléphones portables pour ceux qui veulent vérifier où en est leur Easy Jet …. Banalitude.
Quelques précisions de principe pour ceux qui vont se gratter le front :
– on ne voit pas « tous » les avions, ils faut qu’ils soient équipés de l’émetteur idoine et, on peut l’imaginer, d’une politique ad hoc
– le concept s’appelle radar vituel qui il n’est pas fondé sur des retour d’émission d’énergie, c’est une amélioration du concept de transpondeur un peu comme le QR Code par rapport au code barre. C’est plus bavard, plus fexible et donc plus intéropérable.
– technique S-Band TDMA Airborne Data Link, ou encore VHF Data Link
– ADS – B , better in English, sorry
– Bidouillez-le vous même, c’est ici
Mise en oeuvre avec les projets de ciel ouvert, sans Airways, les avions échangent entre eux directement les données de vols et les applications se débrouillent entre elles pour … optimiser. On en parlait depuis plus de 10 ans et le concept préfigure un peu la généralisation du RFID avec surtout le NFC, Near Field Contact. A quoi cela sert ? On peut être dubitatif mais à pas mal de choses probablement, comme des économies d’énergie sans doute. Enfin, on peut l’espérer.